Date: 10.06.2023 Heure: 14:30 GMT
Ajouté le : 27.12.2011 10:17
Livre : «Quand la sève devient lait», par huit auteurs mauritaniens
ALAKHBAR(Nouakchott)- Ils sont huit auteurs mauritaniens dans un ouvrage collectif en Arabe, Français et Poulaar intitulé : "Quand la sève devient lait". Tous pointent leur arme sur la pauvreté culturelle et tirent la sonnette d’alarme : «La lutte contre la pauvreté ne devrait pas uniquement concerner le droit à une rémunération équitable, l’accès à la santé…, mais devrait également concerner l’accès à l’art et à la culture». Culture c’est aussi littérature. Raison pour laquelle ils proposent, à un prix dérisoire, cet ouvrage littéraire, en proses et poèmes, pour venir en aide aux plus, culturellement, démunis.
A contribution séparée, les huit sont Habib Ould Mahfoud, professeur de lettres et journaliste qui décrit des stagiaires du Peace corps inaugurant la création, en Mauritanie, d’un modèle administratif décentralisé qui montrera ses limites d’application. Oum Kelthoum Maint Ahmed, écrivaine, qui explique «de quelle façon la folie peut s’emparer des hommes, jusqu’à devenir normalité, puis pouvoir». Aichettou Mint Ahmeddou, professeur de sciences naturelles, qui voyage dans un autre temps, à l’époque où les anciennes citées de Tama et Vama se livrent combat.
Il y a aussi Djibril Hamet Ly, chercheurs en Linguistique, qui nous livre «un aperçu de son engagement ethnique». Harouna Ly, dit Rachid, ancien gendarme et journaliste, qui relate «l’odyssée semi-tragique d’un jeune homme mauritanien, qui, pour se faire valoir auprès de sa fiancée, décide d’émigrer en France. Abdelvetah Ould Mohamed, journaliste, qui met en scène l’amitié entre deux enfants, qui, finalement, ne résiste pas au contexte social qui les divisent. Elimane Ould Baba, professeur d’histoire, qui nous propose, autour d’une satire, l’histoire d’un vol spatial vécu par trois jeunes mauritaniens, profondément attachés à leur culture traditionnelle malgré leur expérience extraordinaire. Et Mamadou Wane, licencié en histoire moderne, qui nous rappelle que la beauté et la joie de vivre apparaissent davantage à nos yeux dans la douleur et la souffrance.
A contribution séparée, les huit sont Habib Ould Mahfoud, professeur de lettres et journaliste qui décrit des stagiaires du Peace corps inaugurant la création, en Mauritanie, d’un modèle administratif décentralisé qui montrera ses limites d’application. Oum Kelthoum Maint Ahmed, écrivaine, qui explique «de quelle façon la folie peut s’emparer des hommes, jusqu’à devenir normalité, puis pouvoir». Aichettou Mint Ahmeddou, professeur de sciences naturelles, qui voyage dans un autre temps, à l’époque où les anciennes citées de Tama et Vama se livrent combat.
Il y a aussi Djibril Hamet Ly, chercheurs en Linguistique, qui nous livre «un aperçu de son engagement ethnique». Harouna Ly, dit Rachid, ancien gendarme et journaliste, qui relate «l’odyssée semi-tragique d’un jeune homme mauritanien, qui, pour se faire valoir auprès de sa fiancée, décide d’émigrer en France. Abdelvetah Ould Mohamed, journaliste, qui met en scène l’amitié entre deux enfants, qui, finalement, ne résiste pas au contexte social qui les divisent. Elimane Ould Baba, professeur d’histoire, qui nous propose, autour d’une satire, l’histoire d’un vol spatial vécu par trois jeunes mauritaniens, profondément attachés à leur culture traditionnelle malgré leur expérience extraordinaire. Et Mamadou Wane, licencié en histoire moderne, qui nous rappelle que la beauté et la joie de vivre apparaissent davantage à nos yeux dans la douleur et la souffrance.