Date: 09.06.2023 Heure: 00:13 GMT
Ajouté le : 28.01.2012 21:58
ISERI: l'AJMF exige le jugement des "auteurs de la répression"
ALAKHBAR(Nouakchott)-"L'ISERI était depuis toujours une édifice de la recherche de l'éducation et il a sorti pour la Mauritanie des savants, des juristes et des journalistes qui étaient tous des marques de premier plan dans l'actuelle vie du pays" note une déclaration de l'Association des Jeunes Mauritaniens en France(AJMF) , publiée, ce samedi.
La déclaration ajoute que cette "décision ne s'est pas contentée de tout ce qu'elle représente de stigmatisation et de honte dans l'histoire de l'éducation nationale, mais elle a été accompagnée d'un crime de répression brutale et des arrestations arbitraires des étudiants en méprisant le droit de manifester et la liberté d'expression".
Toujours, suite à la fermeture de l'ISERI, le porte parole de l'AJMF,Khaled Ould Mouhameden, souligne dans la déclaration qu'une "manifestation de l'improvisation et la confusion qui marque le processus de l'éducation depuis un certain temps, ainsi que l'absence de toute vision stratégique qui s'appuie sur les réussites du passé et qui vise un avenir brillant".
"L'ISERI était depuis toujours un édifice de la recherche de l'éducation et il a sorti pour la Mauritanie des promotions de savants, de juristes et de journalistes qui étaient tous des marques de premier plan dans l'actuelle vie du pays", brosse Ould Mouhameden,
Il dira par la suite que cette "décision prise par les autorités de Nouakchott,ne s'est pas contentée de tout ce qu'elle représente de stigmatisation et de honte dans l'histoire de l'éducation nationale, mais elle a été accompagnée d'un crime de répression brutale et des arrestations arbitraires des étudiants en méprisant le droit de manifester et la liberté d'expression".
Le président de l'AJMF, section de l'UNEM, en France, déclare que leur instance appuie la position de leurs camarades dans l'UNEM et condamne de la décision de fermer l'Institut et demande l'annulation de cette décision immédiatement. Et l'AJMF, selon Khaled demande à ce que tous ceux qui sont impliqués dans la répression et la torture des étudiants soient jugés.
La déclaration ajoute que cette "décision ne s'est pas contentée de tout ce qu'elle représente de stigmatisation et de honte dans l'histoire de l'éducation nationale, mais elle a été accompagnée d'un crime de répression brutale et des arrestations arbitraires des étudiants en méprisant le droit de manifester et la liberté d'expression".
Toujours, suite à la fermeture de l'ISERI, le porte parole de l'AJMF,Khaled Ould Mouhameden, souligne dans la déclaration qu'une "manifestation de l'improvisation et la confusion qui marque le processus de l'éducation depuis un certain temps, ainsi que l'absence de toute vision stratégique qui s'appuie sur les réussites du passé et qui vise un avenir brillant".
"L'ISERI était depuis toujours un édifice de la recherche de l'éducation et il a sorti pour la Mauritanie des promotions de savants, de juristes et de journalistes qui étaient tous des marques de premier plan dans l'actuelle vie du pays", brosse Ould Mouhameden,
Il dira par la suite que cette "décision prise par les autorités de Nouakchott,ne s'est pas contentée de tout ce qu'elle représente de stigmatisation et de honte dans l'histoire de l'éducation nationale, mais elle a été accompagnée d'un crime de répression brutale et des arrestations arbitraires des étudiants en méprisant le droit de manifester et la liberté d'expression".
Le président de l'AJMF, section de l'UNEM, en France, déclare que leur instance appuie la position de leurs camarades dans l'UNEM et condamne de la décision de fermer l'Institut et demande l'annulation de cette décision immédiatement. Et l'AJMF, selon Khaled demande à ce que tous ceux qui sont impliqués dans la répression et la torture des étudiants soient jugés.