Date: 10.06.2023 Heure: 14:47 GMT
Ajouté le : 27.02.2012 18:06
Lettre ouverte des PNP, a son excellence, monsieur le ministre du pétrole, de l’énergie et des mines
DOLEANCES
Une fois n’est pas coutume de commencer par poser des questions parmi lesquelles, ont été posées à Ould Abdel Aziz d’il y a quelque temps.
J’ai l’honneur de vous poser les questions qui suivent :
1ème/ D’abord, est ce vous savez qu’il y ait ici des travailleurs qui restent deux, trois voir plusieurs mois sans être payés ?
2ème/ Est que vraie en vous de lutter contre la Pauvreté ?
3ème/ Est que vous êtes sûr que votre entourage vous rend compte correctement ?
4ème/ Est que vous ne pensez pas qu’il y ait temps de réguler les salaires en fonction de train de vie du pays ?
5ème/ Pourquoi les Non Permanents ne bénéficient pas d’augmentation des salaires alors que les prix de denrées des premières nécessités continuent de flamber et ce depuis seulement l’arrivée de CMJD?
6ème/Pourquoi nous n’avons pas bénéficié des augmentations de 50% en 2006 et de 2007 ?
7ème/ Pourquoi encore l’on ne nous ajoute pas les neufs milles d’SMIG salarial dont tout le monde doit en bénéfier d’à compter de Septembre 2011 ?
8ème je pose la question de savoir pourquoi l’ancienneté n’est pas comptée chez les PNP ?
9ème e/Pourquoi nous ne bénéficions pas des missions de formation sauf par dérogation de faveur du plus fort ?
10ème /Pourquoi l’on ne trouve pas l’alternative de retard de nos salaires étant pères, mères de famille sous loués ?
11ème/Une dernière question, pourquoi nous ne bénéficions pas de Caisse Nationale Assurance Maladie ( CNAM) ?
En effet, je veux y proposer au nom de tous les PNP et en particulier ceux de notre Ministère du Pétrole, de l’Energie et des Mines, ce qui suit :
-Ce qui est de la première question, si vous ne le saviez pas, notez qu’à ma connaissance, il y a 99 PNP qui sont ici sans Salaire depuis bientôt deux mois.
L’Etat est responsable de notre situation !!!
Je me demande, pourquoi l’Etat prend cette décision d’exiger la montée à l’heure si l'on ne tient pas compte des aléas dans lesquels vivent ces travailleurs en posant au retour, des mésures d’accompagnement qui consistent à mettre les travailleurs dans des bonnes conditions et exiger après l’assiduté?
Donc l’Etat doit s’occuper des Non Permanents qui semblent ne devoir rien bénéficier alors qu’ils sont les plus grands bosseurs, l’Etat le sait très bien!
Nous demandons aussi des maisons pour les chefs de famille en nous permettant de pays par convention au fur et à mesure, jusqu’à que la maison soit entièrement acquise.
Mais quand on n’est pas dans des bonnes conditions, l’on est oblisé d’aller chercher avec quoi vivre et pour sa famille.
Même le decrêt qui vient d’être promulgué ne nous rassûre pas dans la mésure où rien n’est transparent dans cette administration où l’on refuse de donner des informations à ses collègues du même département sous prétexte du secrêt proffetionnel.
Je notifie à ce Ministre tout comme son Sécrétaire Général que j’espère étant travailleurs éveuillés, de ne pas faire comme les Ministres et Sécrétaires Généraux précédants, qui se sont succèdés, avec leur tromperie à notre égard, nous promettant ce qui ne vois jamais le jours.
.
Il faut noter au passage, que celui qui est recruté depuis des années, a le même salaire que celui qui vient d’être recruté sauf quand il aura été recommandé par une autorité et là, il aurait le faveur de pronostic par rapport à ses collègues de même catégorie de service.
Or, nous faisons parti de ces pauvres agents et de plus que l’état a promis la lutte contre les mauvaises conditions de vie à tous les mauritaniens.
Cependant, si l’on veut faire des augmentations, pourquoi pas se référer aux salaires de base au lieu de par indice, toutefois que les Non Permanents n’en disposent pas.
A cet effet, nous rappelons que nous faisons parti de ces mauritaniens
Pères, mères de familles qui souffrent de cherté de prix qui se multiplient par quattre dépuis sept ans, des salaires de misère, sous louer, et temps d'autres souffrances que je n'arrive à énumérer.
Je vous donne mon exemple : qui, « quand je vous dis que j’ai l’une des plus petites familles
de sept membres, je dépense par jour, (24h) au moins, sans tenir compte des cartes de crédits, La maladie quelques fois de l’une de ma famille et les imprévus qui peuvent souvent dépasser le
3000 UM, alors que moi, je ne touche qu’en tout et pour tout 32000 UM mensuel, sans
Indemnité quelconque et ne venant pas à jours ».
Figurez vous que je dépense par jour hors imprévues : « comme maladies ou autres pour nourrir ma famille, trois milles ouguiyas plus le gaz butane petit modèle trois fois par mois soit :(700x3), 2800, le loyer à « 10000 » par chambre et il m’en faut deux étant en famille donc ce qui me fait en tout : (3000 x 30 =90000) + (10000x2 = 20000 UM) + (700x3 = 2800)+(facture electrique 2200 UM par deux mois, soit 1100 par mois) et le tout fait : ( 90000+20000+2800+1100= 113.900 UM ) » par mois, si mes comptes sont bonnes.
Ce qui fait que nous sommes trop endettés, jusqu’à ne pouvoir plus dormir en pensant, à chaque jour qui arrive comment trouver la dépense si ce n’est que pour les enfants qui vont à l’école !
Dans ces genres de situations, que veulent les autorités s’elles exigent de monter à l’heure et
de descendre à l’heure ?
Est ce que intelligent cette décision si l'on ne tient pas compte des aléas dans lesquels vivent les travailleurs?
Et pourtant l’état sait ceux qui ne montent pas en bénéficiant toutefois de tous les droits que ceux qui montent bénéficient.
Parmis ces travailleurs, non seulement ils ne voient pas leurs salaires majorés en fonction des conditions difficiles de vie actuelle, mais aussi ne perçoivent pas leur salaire en fin de chaque mois moins la non évolution de leur salaire de chaques deux ans, en fonction de leur anciennété, tels que les Non permenents.
Autres choses, quand on dit prîmes, je comprénais encouragement pour ceux qui travaillent à faire plus et ceux qui ne travaillent pas, à le devenir.
Mais au contraire, ceux qui ne travaillent pas, perçoivent autant ou plus de ce que ceux qui travaillent.
Donc je ne vois pas dans ces conditions le pouvoir d'exiger à ce que ceux-là le soient si l'on ne change pas les conditions de vie pénible de ces travailleurs.
Je demande à l’ensemble des observateurs si cela ne veut pas dire d’aller voler ou aller faire comme certains l’ont fait en Tunisie, en Egypte, en Algérie et même ici en Mauritanie, de : « s’immoler », qu’est ce qu’on doit faire?
Etant très gênant de demander à chaque fois, plus encore ce que cela fait comme honte, quand vous n’obtenez pas ce que vous demandiez, veuillez donc résoudre cette situation le plus rapidement possible, si vous tenez à ce que tout le monde soit surplace aux heures du travail, en vous proposant, de faire à l’équivalent de vos differentes notes de service, des sommes forfaitaires en (millions) par an ou par moi, afin de combler ces trous pour lesquels, l’on partait chercher de quoi les boucher hord du Ministère lors des heures du travail.
Dans cet état de fait, je demande de trouver la bonne formule de changer cette situation que les travailleurs vivent ici en Mauritanie en particulier, les non permanents et surtout ici au Ministère du Pétrole, de l’Energie et des Mines où le Secrétaire Général de l’époque refugeait de tout signer, même nos salaires trainent encore aux Rachads que d’aucuns disent que c’est entre les mains d’Abdel ziz.
Des heures supplémentaires qui sont faites que pour soutenir les faibles salaires ne sont pas équitablement reparties, pas d’avoir fait des heures de haut de là des heures du travail et ce aurait été pour cela, certains directeurs passaient la nuit dans leur Bureau mais n’en bénéficiaient pas autant.
Nous PNP du MPEM, nous en avons marre de cette situation que nous avons posée à plusieurs reprises sans satisfactions à tous les niveaux.
En effet, Excellence Monsieur le Ministre, départ votre vertu de travailleur et soucieux de la situation difficile de votre personnel, nous vous saurions gré de bien vouloir examiner notre cas et d’y remédier.
Je vous remercie!
Un P.N.P à la D.E.M.E/ M.P.E.M: (Abdoulaye Deh).
Une fois n’est pas coutume de commencer par poser des questions parmi lesquelles, ont été posées à Ould Abdel Aziz d’il y a quelque temps.
J’ai l’honneur de vous poser les questions qui suivent :
1ème/ D’abord, est ce vous savez qu’il y ait ici des travailleurs qui restent deux, trois voir plusieurs mois sans être payés ?
2ème/ Est que vraie en vous de lutter contre la Pauvreté ?
3ème/ Est que vous êtes sûr que votre entourage vous rend compte correctement ?
4ème/ Est que vous ne pensez pas qu’il y ait temps de réguler les salaires en fonction de train de vie du pays ?
5ème/ Pourquoi les Non Permanents ne bénéficient pas d’augmentation des salaires alors que les prix de denrées des premières nécessités continuent de flamber et ce depuis seulement l’arrivée de CMJD?
6ème/Pourquoi nous n’avons pas bénéficié des augmentations de 50% en 2006 et de 2007 ?
7ème/ Pourquoi encore l’on ne nous ajoute pas les neufs milles d’SMIG salarial dont tout le monde doit en bénéfier d’à compter de Septembre 2011 ?
8ème je pose la question de savoir pourquoi l’ancienneté n’est pas comptée chez les PNP ?
9ème e/Pourquoi nous ne bénéficions pas des missions de formation sauf par dérogation de faveur du plus fort ?
10ème /Pourquoi l’on ne trouve pas l’alternative de retard de nos salaires étant pères, mères de famille sous loués ?
11ème/Une dernière question, pourquoi nous ne bénéficions pas de Caisse Nationale Assurance Maladie ( CNAM) ?
En effet, je veux y proposer au nom de tous les PNP et en particulier ceux de notre Ministère du Pétrole, de l’Energie et des Mines, ce qui suit :
-Ce qui est de la première question, si vous ne le saviez pas, notez qu’à ma connaissance, il y a 99 PNP qui sont ici sans Salaire depuis bientôt deux mois.
L’Etat est responsable de notre situation !!!
Je me demande, pourquoi l’Etat prend cette décision d’exiger la montée à l’heure si l'on ne tient pas compte des aléas dans lesquels vivent ces travailleurs en posant au retour, des mésures d’accompagnement qui consistent à mettre les travailleurs dans des bonnes conditions et exiger après l’assiduté?
Donc l’Etat doit s’occuper des Non Permanents qui semblent ne devoir rien bénéficier alors qu’ils sont les plus grands bosseurs, l’Etat le sait très bien!
Nous demandons aussi des maisons pour les chefs de famille en nous permettant de pays par convention au fur et à mesure, jusqu’à que la maison soit entièrement acquise.
Mais quand on n’est pas dans des bonnes conditions, l’on est oblisé d’aller chercher avec quoi vivre et pour sa famille.
Même le decrêt qui vient d’être promulgué ne nous rassûre pas dans la mésure où rien n’est transparent dans cette administration où l’on refuse de donner des informations à ses collègues du même département sous prétexte du secrêt proffetionnel.
Je notifie à ce Ministre tout comme son Sécrétaire Général que j’espère étant travailleurs éveuillés, de ne pas faire comme les Ministres et Sécrétaires Généraux précédants, qui se sont succèdés, avec leur tromperie à notre égard, nous promettant ce qui ne vois jamais le jours.
.
Il faut noter au passage, que celui qui est recruté depuis des années, a le même salaire que celui qui vient d’être recruté sauf quand il aura été recommandé par une autorité et là, il aurait le faveur de pronostic par rapport à ses collègues de même catégorie de service.
Or, nous faisons parti de ces pauvres agents et de plus que l’état a promis la lutte contre les mauvaises conditions de vie à tous les mauritaniens.
Cependant, si l’on veut faire des augmentations, pourquoi pas se référer aux salaires de base au lieu de par indice, toutefois que les Non Permanents n’en disposent pas.
A cet effet, nous rappelons que nous faisons parti de ces mauritaniens
Pères, mères de familles qui souffrent de cherté de prix qui se multiplient par quattre dépuis sept ans, des salaires de misère, sous louer, et temps d'autres souffrances que je n'arrive à énumérer.
Je vous donne mon exemple : qui, « quand je vous dis que j’ai l’une des plus petites familles
de sept membres, je dépense par jour, (24h) au moins, sans tenir compte des cartes de crédits, La maladie quelques fois de l’une de ma famille et les imprévus qui peuvent souvent dépasser le
3000 UM, alors que moi, je ne touche qu’en tout et pour tout 32000 UM mensuel, sans
Indemnité quelconque et ne venant pas à jours ».
Figurez vous que je dépense par jour hors imprévues : « comme maladies ou autres pour nourrir ma famille, trois milles ouguiyas plus le gaz butane petit modèle trois fois par mois soit :(700x3), 2800, le loyer à « 10000 » par chambre et il m’en faut deux étant en famille donc ce qui me fait en tout : (3000 x 30 =90000) + (10000x2 = 20000 UM) + (700x3 = 2800)+(facture electrique 2200 UM par deux mois, soit 1100 par mois) et le tout fait : ( 90000+20000+2800+1100= 113.900 UM ) » par mois, si mes comptes sont bonnes.
Ce qui fait que nous sommes trop endettés, jusqu’à ne pouvoir plus dormir en pensant, à chaque jour qui arrive comment trouver la dépense si ce n’est que pour les enfants qui vont à l’école !
Dans ces genres de situations, que veulent les autorités s’elles exigent de monter à l’heure et
de descendre à l’heure ?
Est ce que intelligent cette décision si l'on ne tient pas compte des aléas dans lesquels vivent les travailleurs?
Et pourtant l’état sait ceux qui ne montent pas en bénéficiant toutefois de tous les droits que ceux qui montent bénéficient.
Parmis ces travailleurs, non seulement ils ne voient pas leurs salaires majorés en fonction des conditions difficiles de vie actuelle, mais aussi ne perçoivent pas leur salaire en fin de chaque mois moins la non évolution de leur salaire de chaques deux ans, en fonction de leur anciennété, tels que les Non permenents.
Autres choses, quand on dit prîmes, je comprénais encouragement pour ceux qui travaillent à faire plus et ceux qui ne travaillent pas, à le devenir.
Mais au contraire, ceux qui ne travaillent pas, perçoivent autant ou plus de ce que ceux qui travaillent.
Donc je ne vois pas dans ces conditions le pouvoir d'exiger à ce que ceux-là le soient si l'on ne change pas les conditions de vie pénible de ces travailleurs.
Je demande à l’ensemble des observateurs si cela ne veut pas dire d’aller voler ou aller faire comme certains l’ont fait en Tunisie, en Egypte, en Algérie et même ici en Mauritanie, de : « s’immoler », qu’est ce qu’on doit faire?
Etant très gênant de demander à chaque fois, plus encore ce que cela fait comme honte, quand vous n’obtenez pas ce que vous demandiez, veuillez donc résoudre cette situation le plus rapidement possible, si vous tenez à ce que tout le monde soit surplace aux heures du travail, en vous proposant, de faire à l’équivalent de vos differentes notes de service, des sommes forfaitaires en (millions) par an ou par moi, afin de combler ces trous pour lesquels, l’on partait chercher de quoi les boucher hord du Ministère lors des heures du travail.
Dans cet état de fait, je demande de trouver la bonne formule de changer cette situation que les travailleurs vivent ici en Mauritanie en particulier, les non permanents et surtout ici au Ministère du Pétrole, de l’Energie et des Mines où le Secrétaire Général de l’époque refugeait de tout signer, même nos salaires trainent encore aux Rachads que d’aucuns disent que c’est entre les mains d’Abdel ziz.
Des heures supplémentaires qui sont faites que pour soutenir les faibles salaires ne sont pas équitablement reparties, pas d’avoir fait des heures de haut de là des heures du travail et ce aurait été pour cela, certains directeurs passaient la nuit dans leur Bureau mais n’en bénéficiaient pas autant.
Nous PNP du MPEM, nous en avons marre de cette situation que nous avons posée à plusieurs reprises sans satisfactions à tous les niveaux.
En effet, Excellence Monsieur le Ministre, départ votre vertu de travailleur et soucieux de la situation difficile de votre personnel, nous vous saurions gré de bien vouloir examiner notre cas et d’y remédier.
Je vous remercie!
Un P.N.P à la D.E.M.E/ M.P.E.M: (Abdoulaye Deh).